«Quasiment pas d’eau, un peu de vent » ont permis une longue période de vendanges. Ajoutons-y «un millésime qui s’annonce bien malgré un printemps compliqué» (7 épisodes de grêle et des attaques de mildiou en force qui ont impacté 10 à 12% des parcelles) et on obtient une typologie 2018 «très peu acide. On a bataillé pour garder des notes fraîches sur les rosés et les blancs. Le rouge, on saura sous peu». Oubliés les 2.5 M d’hectolitre de 2017, «on voisinera les 3.3 M d’hectolitres». Rassurées, les IGP passent en mode projet et visent «des vins respectueux de l’environnement» expérimentant même des cépages résistants pour aller au «zéro traitement». «C’est la demande et c’est l’avenir».
Dix semaines de ramassage grâce aux conditions météo exceptionnelles «il reste juste quelques parcelles de Côtes-du-Rhône, dans le Nord du Gard» et Denis Verdier d’entamer un chant de la vigne rythmé de «moults bien fermentés, pleins de nutritifs, superbe expression des arômes, notes fraîches, rouge corsé aux belles couleurs,…
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