30.000 hectares de terres agricoles perdus depuis 1950, «c’est une hémorragie» dénonce la préfecture du Gard. «Plus d’un 1.37 hectares qui disparaissent chaque jour. Il faudra dorénavant compenser l’empreinte de chaque projet qui consomme de la terre agricole en surface et en valeur à un fonds de compensation» explique Gérard Chevalier de la DDTM. Une approche compensatrice innovante et radicale, à la mesure du problème.
Le cri d’alarme initial vient des agriculteurs eux-mêmes, particulièrement les jeunes qui ne parviennent plus à trouver de terres pour s’installer. Et les chiffres ont fait émerger un désastre.
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