Le paradoxe Parcoursup, « c’est qu’il y a pratiquement trop de places aujourd’hui », un effet pervers du nouveau système. « Nous avons passé la rentrée sans difficulté particulière » soumet Emmanuel Roux président de Unîmes « parce que le dispositif était calé en amont. Nous avons veillé à une capacité d’accueil élargie sur les grandes filières, accompagnés par le ministère, comme tout le monde au niveau national, c’était le seul moyen. De fait, à mi-septembre, nous avons plus de classes que d’élèves ». Unîmes, rentrée « un pied en l’air », garde une solide avance. Etat et projets.
A Unimes, qui ouvre de nouvelles formations et affiche une croissance de +12 à +15 % d’inscriptions cette année, « des plages de cours ont été ajoutées à l’agenda » grâce aussi à des financements supplémentaires [...]
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