Les souffrances physiques, psychologiques, verbales, sexuelles, subies par les femmes restent un fléau...
Elles suscitent des 4 mobilisations facilitées par les réseaux sociaux. La parole des femmes se libère peu à peu. Les journées dédiées aux causes ne peuvent tout régler mais elles ont le mérite de sensibiliser. Il faut s’entourer, parler, consulter. Les actes de violence à l’encontre des femmes sont réprimés de plus en plus sévèrement en France, des sanctions sont prises contre les propos sexistes en entreprise. Mais les frais d’avocat, d’expertises ou d’huissiers élevés et sans la garantie d’obtenir gain de cause dissuadent de porter plainte.
Nombre de procédures sont classées sans suite. L’aide juridictionnelle en France est une des plus faibles en Europe.
La politique de prévention passe par une action contre les stéréotypes sur les femmes.