Situation difficile mais pas catastrophique.
L'accélération de la pression sanitaire, plus de 62 000 cas positifs enregistrés, vient troubler la fin de l'année et le démarrage des meetings politiques. L'ARS tire la sonnette d'alarme et s'organise pour que patients et soignants puissent passer de bonnes fêtes de fin d'année. Le variant Omicron semble avoir un risque accru de réinfection mais des symptômes moins graves. Le plan blanc se généralise, les soignants, fatigués, commencent à tomber malades. L'enjeu politique est d'éviter que les soignants paient cher. Le télétravail est préconisé.
Le Gouvernement appelle à la responsabilité dans les meetings politiques alors que démarre la campagne pour les présidentielles. Masques, pass, contrôles accrus sont de retour. En France, on ne ferme pas les écoles alors que c'est bien là que le virus circule le plus. C'est la course au vaccin et aux rappels. Y aura-t-il assez de doses pour tous ?