Montréal, Athènes, Bruxelles, Berlin, Madrid, Nairobi, New York ou Hong Kong... des mobilisations étudiantes et marches pour la planète ont eu lieu un peu partout dans le monde en fin de semaine passée. A Nîmes aussi se tenait une manifestation non-violente pour la justice climatique et sociale et pour dénoncer «l’inaction du gouvernement français face à la crise climatique et son cynisme vis-à-vis de la crise sociale».
Les casseurs parisiens ont fait plus recette dans les médias que les manifestants pour le climat, pourtant le week-end passé, ces derniers étaient estimés entre 145.000 et 350.000 dans tout le pays. A Nîmes, 500 collégiens et lycéens avaient créé l’événement le 15 mars. Le 16 ce sont leurs aînés qui réclamaient «des réponses du gouvernement face à l’urgence climatique». Les manifestants de la #MarchePourClimat étaient 8 000 à Montpellier et un millier à Nîmes, rejoints par les Gilets jaunes.[...]
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