Le débat est de savoir si deux zones seraient plus profitables pour l’élève et son rythme de travail.
Le passage de trois à deux zones de vacances est étudié par une commission à l’initiative de la fédération de parents d’élèves FCPE, réunissant syndicats, enseignants, associations de parents et collectivités territoriales. Elle devrait rendre ses conclusions en février.
Pour le ministre de l’Education nationale, la priorité est de gérer des stages de rattrapage pour les élèves qui ont de grosses difficultés en français et mathématiques ou de rentrer plus tôt. La tendance est plutôt d’aller de trois zones vers deux. Pour les vacances de printemps, il y a des décalages entre deux périodes de vacances, qui peuvent aller de cinq à onze semaines. Elles sont parfois trop tardives, en mai par exemple.
Par contre, les zones qui se chevauchent pour les vacances engendrent une concentration trop forte. La divergence des intérêts complique la solution. Est-ce que l’on tranchera en faveur des élèves ou du tourisme ?
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