Valérie Rouverand a été désignée à plus de 70% par les adhérents du parti Renaissance comme présidente du parti présidentiel dans le Gard. 16 élus de la liste sur les 20 sont passés pour une participation de 80%.
La rédaction du Le Réveil du Midi l'a contactée pour avoir sa réaction : "Ravie de cette victoire, je veux remercier notre équipe qui s'est mobilisée, il a fallu choisir 20 personnes et deux remplaçants, une liste paritaire avec des gens imlplantés depuis longtemps dans le département. On est un mouvement jeune et maintenant un parti, il fallait continuer avec force et compétence tout ce que nous avons entrepris sur le département depuis 5 ans. On a des gens qui ont accepté d'être sur ma liste. Je remercie Jérome Talon pour cette co-référence menée pendant 2 ans, il a été dans la transmission, ça s'est bien passé. Jérome Talon était sur la liste mais va vers un poste régional. Merci également à Jean-Luc Garcia qui connaît parfaitement la législation et qui est le numero 2 de cette liste et à Olivier Lange président de Territoire de progrès. Nous avons des compétences rassemblées sur le territoire, et des personnes aux courants politiques modérés.
Ce mouvement devient un parti, il faut l'enraciner ! Depuis deux mois, nous étions dans une campagne d'adhésion. Avec 310 adhérents nous avons gagné 100 adhérents en un mois. L'adhésion est payante (10 à 30 euros)."
Soutien de la majorité présidentielle
"Nous avons le projet d'obtenir plus de moyens financiers et révéler de nouvelles personnalités, travailler avec les jeunes et attirer les jeunes à l'engagement politique. Mais aussi fédérer nos élus et soutenir la majorité présidentielle. Notre rôle est de valoriser l'action du gouvernement, en tant que responsable je suis convaincue de cette réforme, il faut la garantir pour nos enfants et petits-enfants pour qu'ils aient une retraite. Avant, on avait 3 actifs pour un retraité aujourd'hui c'est 1,7. C'est une réforme juste car elle prend en compte les carrières longues et la pénibilité. Personne ne veut travailler plus longtemps mais nous n'avons pas le choix de réformer cette retraite."