C’était un geste fort en ouverture de la semaine de la fraternité qui se clôturera le 23 mars à Nîmes, sur l’Esplanade Charles de Gaulle, et réunira toutes les associations, un recueillement et le dépôt de gerbes devant la stèle posée en gare de Nîmes au pied de l’accès aux quais.
Cette année, ni discours, ni témoignage, ni chant d’enfants, mais une lourde minute de silence et une marseillaise «tout est dit là, en fait il n’y a rien à ajouter. 50 enfants juifs dont le plus jeune avait deux ans et le plus âgé 18 ans» soulignera Didier Lauga, préfet du Gard. [...]
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