Entre les péripéties de campagne, les débuts laborieux de certains candidats, les ralliements, s’invite le Convoi de la Liberté...
Sera-t-il une mobilisation réussie ? Il est difficile d’appréhender ce qui est train de se passer, d’évaluer ce qui peut sortir de ce mouvement...
Les raisons ne sont pas les mêmes que celles des Gilets jaunes. On ne vit pas le même contexte. C’est un mouvement social qui vient perturber les élections et ce n’est pas l’élection présidentielle qui leur apportera des solutions. Ce sont des revendications individuelles, il n’y a pas de leader.
La goutte d’eau a été le pass vaccinal. La préfecture de Paris a donné des mesures de fermeté pour faire respecter l’interdiction de blocage des axes routiers. La France est l’un des pays qui a pris le moins de mesures contraignantes vis-à-vis de cette épidémie mais des mouvements politiques capitalisent sur une certaine lassitude.