Le patron de la dernière boite de nuit nîmoise dans le brouillard ! Tout au plus, lui a-t-on un instant proposé d’ouvrir... un Thé dansant ! “Même pas, rectifie Marc Giner. Il était interdit de danser ! Il s’agissait plutôt d’un...
Le patron de la dernière boite de nuit nîmoise dans le brouillard !
Tout au plus, lui a-t-on un instant proposé d’ouvrir... un Thé dansant ! “Même pas, rectifie Marc Giner. Il était interdit de danser ! Il s’agissait plutôt d’un salon de thé.” Tous les clients devaient rester assis et masqués pour se déplacer. Bonjour, l’ambiance ! Rapidement le Gouvernement a abandonné cette proposition farfelue pour s’en tenir à sa décision initiale : fermeture totale !
Depuis le début du confinement, donc, le First Club, rue Jean Reboul, n’a plus ouvert. “Ma boite de nuit, c’est mon seul outil de travail, raconte le patron. Je ne perçois donc rien, sauf les 1500 euros qui sont pour la société. Fort heureusement mes huit salariés sont en chômage partiel payé par l’Etat... pour l’instant !” Car ce qui angoisse le plus Marc Giner, c’est l’absence de visibilité totale. “Il n’y a aucune perspective d’avenir. Nous ne savons rien ! Si nous pourrons rouvrir un jour, dans quelles conditions, avec quelles contraintes,...”
Tout au plus, lui a-t-on un instant proposé d’ouvrir... un Thé dansant ! “Même pas, rectifie Marc Giner. Il était interdit de danser ! Il s’agissait plutôt d’un salon de thé.” Tous les clients devaient rester assis et masqués pour se déplacer. Bonjour, l’ambiance ! Rapidement le Gouvernement a abandonné cette proposition farfelue pour s’en tenir à sa décision initiale : fermeture totale !
Depuis le début du confinement, donc, le First Club, rue Jean Reboul, n’a plus ouvert. “Ma boite de nuit, c’est mon seul outil de travail, raconte le patron. Je ne perçois donc rien, sauf les 1500 euros qui sont pour la société. Fort heureusement mes huit salariés sont en chômage partiel payé par l’Etat... pour l’instant !” Car ce qui angoisse le plus Marc Giner, c’est l’absence de visibilité totale. “Il n’y a aucune perspective d’avenir. Nous ne savons rien ! Si nous pourrons rouvrir un jour, dans quelles conditions, avec quelles contraintes,...”
Une situation qui ne va pas sans poser de nombreuses questions. Le patron du CKF vient de jeter l’éponge laissant donc le First Club, seule potentielle boite de nuit intra-muros. S’il devait lui aussi être dans l’impossibilité de rouvrir, les jeunes devraient alors se rendre dans les villages environnants pour faire la fête ! Avec les dangers que cela représente.
“Nous sommes des professionnels de la nuit. En tant que tels, nous assurons un accueil sécurisé de nos clients”, conclut Marc Giner qui ne demande qu’une chose : retravailler le plus vite possible !
“Nous sommes des professionnels de la nuit. En tant que tels, nous assurons un accueil sécurisé de nos clients”, conclut Marc Giner qui ne demande qu’une chose : retravailler le plus vite possible !
Le First Club, l’ancienne Comédie, recevait environ chaque fin de semaine, de 1200 à 1500 clients. Rue Jean Reboul.