Ces âmes, soit-disant bien pensantes, qui voudraient interdire ! Tout simplement abolir ! Barcelone, Mexico, et qui le prochain sur la liste ? Une énième fois nos traditions, nos valeurs, sont en danger et subissent les assauts d’un nouveau genre, au nom d’un nouveau monde. Mais jusqu’où iront-ils ?
Nos politiques derrière le maire d’Arles, Patrick De Carolis, sont là, la Reine et ses demoiselles d’honneur aussi, pour défendre nos libertés, nos traditions ce qui fait ici notre sourire, nos larmes et nos rides mais surtout nos joies ! La Marseillaise a même retenti lors du paseo à la Goyesque, le peuple a chanté et applaudi mais jusqu’à quand ? Jusqu’à quand des hommes, torero, mesureront dans l’arène, l’intelligence humaine face à la force brute d’un animal sauvage, pour nous le plus bel animal du monde !
Arènes d'Arles © Daniel Chicot-Régis Labaume
Jusqu’à quand pourrons-nous vibrer au son du galop, face à la bravoure et la noblesse de cet animal fascinant que l’on vénère ? Vibrer face à cet art éphémère qui marque à jamais en vous une empreinte éternelle.
Ecrit par le courage et la témérité d’un homme offrant sa vie pour que le cœur de l’aficion continue de battre et qu’un peuple l’acclame et le porte en triomphe, comme Talavante et Cemaphore (exemplaire Brave de Yonnet) pour cette récolte du Riz.
Régis Labaume.