Neuf créations sur 13 spectacles, quatre conférences ou rencontres, deux expositions (Luis Castilla au musée des cultures taurines et Vanessa Gilles à Carré d’Art), un film documentaire au Sémaphore (l’influence sur le flamenco de l’esclavage à Séville) et des spectacles dans dix-huit écoles avec Mamzelle Flamenka, «pour les spectateurs de demain qui tirent leurs parents aux spectacles», énonce Daniel Jean Valade, adjoint à la Culture de Nîmes.
Pour la troisième année consécutive, Eddie Pons crée l’affiche avec «le soleil d’or sur ciel d’azur qui donnera l’espoir que chacun attend et illustre le programme.»
Du flamenco qui investit pour la première fois le musée de la Romanité avec [...]
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