Une bulle au cœur de Nîmes, un espace dit «hermétique» où seront concentrés tous les dispositifs…
Du croisement de la rue Général Perrier - boulevard Victor Hugo jusqu’au bas de Feuchères et à la place Montcalm
en intégrant une partie de l’Ecusson, c’est la «Feria zone». Un amenuisement aux causes croisées : baisse du pouvoir d’achat, baisse de 15% de la fréquentation touristique,
travaux du TCSP et obligations liées à la contrainte
«sécurité»,… Les chiffres viendront après le rendez-vous de fin d’été.
Feria rétrécie
Parcours plus restreints, risques limités. Ainsi les encierros sont converties en abrivados «qui reviendront plus tard sur la rue Notre-Dame», il n’y a plus d’animation sur La
Placette… Un cantonnement qui arrange le chantier du TCSP, indubitablement en retard, qui recule son échéance au 3 décembre. «Et puis, il y a moins de courses, mais on a choisi des spectacles taurins plus pertinents» explique
Sylvain Pastor, délégué à la tauromachie «le nombre est conforme au contrat signé avec Casas. Nîmes affiche
une moyenne de 14 corridas alors que Bayonne en affiche quatre et Dax cinq. Nîmes est et reste la première place
de corridas en France». «ça a participé à convaincre les espagnols de donner le départ de la Vuelta [Tour
d’Espagne cycliste] ici en août 2017» rappelle en souriant F. Proust.
Corridas «à l’heure»
«Il faudra arriver avec le maximum d’avance aux arènes, une heure.....
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