L’enjeu
Le but ? «Associer l’expertise médicale aux promoteurs de services aux déficients visuels, c’est une démarche citoyenne» pose François Poher, directeur de l’ARAMAV, contre «l’isolement, le manque d’opportunité et de confiance en soi» souligne Corentin Voiseux de Hypra. Chez Hypra, on est convaincu que la technologie peut changer le destin des déficients visuels et que les personnes en situation de handicap visuel peuvent mieux s’intégrer dans la société grâce au numérique. «Le numérique est indispensable pour s’intégrer dans la vie de tous les jours, cela relève aussi du droit au travail» explique Gérard Dupeyron, médecin chef de la clinique ARAMAV. Aramav et Hypra vont donc tester ensemble les solutions au sein de la clinique. Si Hypra déploie des solutions pour tous les handicaps, le partenariat permettra des avancées spécifiques aux déficiences visuelles."La suite de l'article réservée aux abonnés (téléchargement)"