Leçon magistrale d’un JULI hors du commun !
Il faut attendre l’heure du paseo pour enfin voir la pluie cesser de tomber ! Les projecteurs remplacent le soleil et, sous un ciel gris d’automne, l’œuvre du peintre prend toute sa dimension. Une scénographie signée Hervé Di Rosa qui donne corps à cette corrida Goyesque désormais bien ancrée à cette Feria du Riz. Chicuelo innove en se mettant aux palmas et accompagne magistralement l’artiste à la trompette, Pacho Flores, remarquable à chaque faena. Puis, si deux anti-corrida ont fait irruption en piste et sont expulsés sur le champ, cela permet au public de se lever et de chanter en cœur la Coupo Santo et La Marseillaise pour un moment d’émotion qui a embrasé l’amphithéâtre et les sifflets de raccompagner les fouteurs de troubles !"La suite de l'article réservée aux abonnés (téléchargement)"