Les anciennes pépinières Pichon s’étendent du nord au sud de la ville. 14.5 hectares inconstructibles, en friches, toujours en négociation avec les propriétaires, qui courent de la Gare centrale à l’autoroute A9. « Ce sera le deuxième poumon vert de Nîmes » après les Jardins de La Fontaine créés au XVIIIème siècle qui produira une réorganisation urbaine. Le programme de 65 logements collectifs est abandonné « au nom du bien commun ». Objectif « un site accessible, fédérateur et connecté […] qui fera le lien avec tous les quartiers, une colonne vertébrale Nord-Sud tout en favorisant la liaison Est-Ouest ». Les ambitions sont «à mesure».
L’aménagement de ces anciennes pépinières Pichon en parc urbain est «un enjeu majeur d’amélioration du cadre de vie des habitants de Nîmes» en ligne de mire depuis 2016. Les consultations ont poussé la mairie à abandonner l’idée d’y construire 65 logements collectifs dans l’emprise nord (en bordure de la rue Quatrefages)...
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